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Des femmes expliquent pourquoi elles trompent leurs maris et la raison est étonnante

Alors qu’il est parfois difficile d’expliquer ce qui peut pousser à tromper son ou sa partenaire, l’autrice Susan Shapiro Barash a interrogé ces femmes qui pratiquent l’infidélité sans rougir. Et ce, parce que derrière ce geste considéré par beaucoup comme impardonnable, elles estiment vouloir le meilleur pour leur relation.

Alors qu’il est parfois difficile d’expliquer ce qui peut pousser à tromper son ou sa partenaire, l’autrice Susan Shapiro Barash a interrogé ces femmes qui pratiquent l’infidélité sans rougir. Et ce, parce que derrière ce geste considéré par beaucoup comme impardonnable, elles estiment vouloir le meilleur pour leur relation.

Expliquer la tromperie est loin d’être une chose facile. Geste impardonnable que l’on assimile souvent à un mal-être au sein du couple, l’infidélité serait pour certain·es la chose la plus humiliante et difficile à vivre dans une relation. Pourtant, selon les personnes qui trompent, notamment les femmes, cela n’est pas toujours perçu comme quelque chose de négatif. Pendant plusieurs décennies, l’autrice américaine Susan Shapiro Barash est allée à la rencontre de ces femmes qui trompent leur partenaire pour connaître les raisons de ce geste souvent incompris : attirance pour une autre personne ? Manque de stimulation dans la vie amoureuse ou sexuelle ? Non, rien de tout cela. Derrière la tromperie se cacherait en effet la volonté de… sauver leur mariage.

Si certaines s’emploient à jouer la carte du double jeu, et gardent leur infidélité secrète, les femmes qui ont avoué à leurs maris les avoir trompés ont utilisé cet aveu comme un « outil de renégociation » de leur mariage, a découvert Susan Shapiro Barash, relayée par le site Insider.

Ainsi, elles ont expliqué à l’autrice qu’elles avaient dit à leurs maris « que la tromperie leur permettait d’apprécier ce qui manquait à leur mariage, mais aussi qu’elles voulaient avoir ces choses dans leur mariage ». « Pour ces femmes, avouer la tromperie était une façon de dire : ‘Voici ce dont j’ai besoin et que je n’obtiens pas' », précise Susan Shapiro Barash dans son livre A Passion for More : Affairs That Make or Break Us (Une passion pour plus : les liaisons qui nous font ou nous défont).

Un aveu qui peut être « une sonnette d’alarme »

Si certains hommes peuvent prendre leurs jambes à leur cou une fois la tromperie avouée, pour d’autres, cet aveu peut être considéré comme une « sonnette d’alarme ». Au cours de ses interviews, Susan Shapiro Barash a ainsi constaté que les hommes sont aujourd’hui « plus disposés à écouter » et à envisager de s’adapter que par le passé, lorsqu’une liaison signifiait souvent la fin d’un mariage, sans poser de questions. Un petit électrochoc qui peut être difficile à encaisser, notamment pour l’ego, mais qui peut permettre de raviver la passion. Et surtout qui remet en question « une idée fausse et pourtant courante selon laquelle les femmes ne donnent pas la priorité à leur sexualité », analyse Insider.

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