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L’insalubrité dans la capitale kinoise a atteint son apothéose, ce, malgré de multiples sensibilisations tant de la part de l’autorité urbaine que des ongs de lutte contre l’insalubrité.
Ce phénomène a pris de l’ascenseur juste après la rupture du partenariat entre l’Union Européenne à travers son programme « PAUK » Programme d’Assainissement Urbain de Kinshasa et l’hôtel de ville de Kinshasa en 2015.
La capitale congolaise s’est transformée en un dépotoir d’immondices malgré toute la logistique du PAUK mise à sa disposition entre autre le centre d’enfouissement technique situé à Mpasa avec une superficie de 250 hectares ainsi que la logistique automobile.Et l’hôte de ville n’a pas su profiter de cet organe de gestion environnementale urbain avec toute sa logistique afin de maintenir le travail d’assainissement.
Le constat amer est que nous assistons de plus en plus à des tas d’immondices à travers la ville de Kinshasa sous le regard impuissant et indifférent de l’autorité urbaine. Avec comme conséquence, des odeurs nauséabondes, des maladies classées des mains sales, la pollution d’air…Depuis 2019, il a été mis en place par l’Hôtel de ville de Kinshasa l’opération Kin Bopeto dans le but de lutter contre l’insalubrité.
Cette campagne n’a pas malheureusement porté ses fruits à cause de la négligence de l’autorité urbaine, pas de suivi sur terrain.L’équipe rédactionnelle de ditalcongo.cd a contacté sans succès le coordonnateur de l’opération Kin Bopeto, Mr. Germain Pundu.
Le gouvernement provincial de Kinshasa en collaboration avec l’hôtel de ville est appelé à mettre en place une stratégie environnementale de lutte contre l’insalubrité et suivre à la loupe sur terrain l’opération proprement dite.
Dossier à suivre
Digitalcongo.net via okactu.com
